Le soir tombant, une fois n’est pas coutume, nous ne nous posons pas dans un petit coin désert mais sur une piknik alani au bord d’une rivière vers Tanir, où nous sommes pris en charge de façon très… maternelle par ce Turc, qui tient une petite guinguette : au matin, inquiet, il nous réveille brutalement en cognant à la porte de la cellule… pour vérifier que tout va bien et qu’on n’a besoin de rien…